[...] j'ai besoin de me payer un petit jeune bien membré pour quelques aller-retour vigoureux, administrés par un pro du sexe. Bien sûr, on pourrait m'objecter que je n'ai pas besoin de payer pour trouver quelqu'un de disposé à me baiser (claro, en mi caso yo podría volverme joto, pero sigo prefiriendo a las féminas. Même s'il faut payer), mais, c'est que voyez-vous, dans ces cas de grosse fringale sexuelle, l'essentiel c'est de jouir vite fait bien fait et de ne surtout pas me prendre la tête avec le mec.
Je paye un mec pour les satisfaire (aquí yo creo debe ser un error de dedo, por lo que afirma después) et m'épargner les complications (finalmente para algunos, todo se reduce a eso). Pas envie de perdre mon temps avec des phases d'approche (sobre todo que al final no hay ninguna garantía de mojar la brocha), pas envie de m'emmerder à penser à plaire (aquí difiero, pues me gusta pensar que a algunas eso les place), à séduire, pas besoin d'aller m'épiler, de penser à ce que je vais mettre, à ce que je vais dire, de me faire chier à être sympa ou vaguement baisable. Je peux être nulle, médiocre, puer du bec ou de la moule (bueno, tampoco no es el caso de llegar oliendo a cargador de la central de abastos. Como quiera me baño, me perjumo, me acicalo), je n'ai aucun effort à faire, il me suffit de sortir le fric pour me sentir remplie et si j'ai envie d'un cuni, je n'ai pas besoin de négocier trois plombes pour avoir ce que je veux (jaja, pinche idioma. NPI de qué cosa es un cuni o eso de plombes).
nous, les femmes de lettres, nous sommes puissantes, imaginatives, en pleine possession de nos moyens et nous avons de gros besoins sexuels pour alimenter notre art (pues yo también tengo de grandes necesidades y seguido, pero nada que ver con alimentar mi arte, jaja).
Surtout que les pros, au moins, ils savent faire jouir sans coup férir et qu'ils ne nous pourrissent pas la vie après l'orgasme à s'avachir dans un coin du lit en ronflant bruyamment (bueno, en mi caso yo agradezco que no tengo que quedarme a dormir. Sobre todo en hoteluchos de mala muerte. Fuera o fuese el Holiday Inn o el Misión Monterrey todavía, jeje).
Dans le but louable d'éviter les débordements et qu'un homme innocent ne devienne une victime collatérale (hasta me parece estar leyendo o escuchando al licenciado Cul(d)erón, con eso de pérdidas, víctimas o daños colaterales) de nos ébats et débats de haut niveau,
du fait que les petits jeunes, par exemple, ça leur rend bien service ce gentil commerce pour financer leurs études, que l'on parle tout de même du plus vieux métier du monde et qu'ils font l'impasse sur les impérieux besoins féminins (pues serán las arañas, pero desde los tiempos bíblicos se mencionan estas historias, y para algunos representa la diferencia entre que les patine el coco, anden por las calles como perros en carnicería, o duerman como bebés después de sacar el veneno).
Quiero imaginar que todo este despiporre verbal obedece a la noticia de que los astros futboleros franceses (y brasileños, y mexicanos, y ....) necesitan descargar su excedente de energía.
Lo que sí se me hace una mentada de madre es que la chica en cuestión se esperó como dos o tres años para denunciar, y peor aún ¿1500 ó 2000 euros por palestino? pues ¿que sabe a caviar o huele a champagne o qué? jajajaja.
Bien dicen que ...
Quod dixi dixi
1 commentaire:
Mmmm.... no entendí ni maíz paloma..... los futbolistas cómo o qué o pagan cuánto a sus demandantes??
mmmm
Yo digo que....
C'est la Vie!
jijiji :P
Besos virtuales!
Muuuuaaaacccccckkkkkkkkk!!!
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