mercredi, août 30, 2006

Un rapidín

Porque mañana (hoy, hoy, hoy, miércoles) tengo que ir a Reforma y ver la cara de emp....adronado de DD al tener que talonearle 10 o más cuadras para llegar con sus patrones, los barones.

Espero que me dejen pasar y no me vayan a gasear con gas mostaza, Montoneros¡¡¡¡¡

Dicen algunos azules que a los amarillos se nos cierra el hemisferio cerebral derecho y por eso no vemos los defectos de AMLO. Pues si a esas vamos, a los azules se les podría cerrar el hemisferio cerebral izquierdo (el problema es que carecen de ambos hemisferios) y por eso no ven los defectillos de Felipe y del pan con lo mesmo (léase Neoliberalismo).

Yo sé que esta canción les provocará dolor de estómago a algunos. Pero díganme si no, la letra sigue vigente. Y eso que fue escrita en 1871 (creo).

Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la faim.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout, debout
Le monde va changer de base,
Nous ne sommes rien, soyons tout.

C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.

Il n'est pas de sauveurs suprêmes
Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun.
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l'esprit du cachot,
Soufflons nous-même notre force,
Battons du fer tant qu'il est chaud.

L'Etat comprime et la Loi triche,
L'impôt saigne le malheureux ;
Nul devoir ne s'impose au riche ;
Le droit du pauvre est un mot creux
C'est assez languir en tutelle,
L'Egalité veut d'autres lois ;
" Pas de droits sans devoirs, dit-elle
Egaux pas de devoirs sans droits ".

Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la banque
Ce qu'il a crée s'est fondu,
En décrétant qu'on le lui rende,
Le peuple ne veut que son dû.

Les rois nous saoûlaient de fumée,
Paix entre nous, guerre aux Tyrans
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l'air et rompons les rangs !
S'ils s'obstinent ces cannibales
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.

Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs,
La terre n'appartient qu'aux hommes,
L'oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours.

8 commentaires:

Angeek a dit…

Heeeyyy, que la aprendimos juntos en la escuela! ja, ja, ja...muy buena.
Marchons, marchons...

Freddy a dit…

andas muy inspirado; pero ya se que es porque yeye regresó; nomás falta la destapada guera curvilinia para que se arme el relajo total

Anonyme a dit…

chaaa... pues por alla nos veremos, no creo que haya problemas porque ya no queda nadie y la mostaza ya se la estan comiendo.
Es cuestion de dias para usar mi super auto nuevamente, aunque ya vere, y si en los microbuses se siguen subiendo ejemplares femeninos como ahora, pues ya estuvo que me hago socio de la pension! salu2

Anonyme a dit…

Vaya que amaneciste muy inspirado eh! Debout mon cher poison!!!

Pachon que guapo estas hoy, sales muy bien en esa foto jeje

Workaholica a dit…

PESCADO... por supuesto que me dio dolor de estómago..... no entendí ni maiz..... (y la Web está cañangasñangas para traducir)

Mati =) a dit…

SI?? MMMMM =)

SALUDOS =D

Mati =) a dit…

DE RAPIDIN:

PASA BONITA NOCHE!!

UN ABRAZOTE =)

Freddy a dit…

se fue la guera curvilínea y llegó la sensual, sexy, deseable y encamable Mati...es un amor!!!