Il faut dire que dès que je suis rentré labourer où je suis, il ne s'est passé une seule année sans ce type de préoccupation. Si j'étais cardiaque, ça ferait longtemps que je aurai été mort.
¿Pourquoi je reste ici? c'est vrai, j'aurai dû m'en aller il y a quelques années, quand j'étais beau et jeune. Bon, beau j'y reste encore. Jeune, pas tout à fait.
Bon, nous y verrons, a dit l'aveugle.
Surtout ne vous perdez pas le deuxième chapitre de ce cauchemar.
1 commentaire:
Uyyy...
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